Qu’est-ce que l’innovation ?
La définition de l’innovation s’articule sur un axe principal : soit l’amélioration de l’existant ; « Introduire quelque chose de nouveau pour remplacer quelque chose d’ancien dans un domaine quelconque » (Larousse) en d’autres termes, l’innovation vise une avancée, un progrès, un perfectionnement d’un produit et/ou d’un service existant.
La plupart des nouveaux arrivants prônent et font l’apologie d’une « innovation » inexistante. Dans la mesure où, la principale différenciation s’articule sur la suppression de la commission jugée « trop onéreuse ». Ne confondons pas un « Disrupter » avec un « Discounter » car entre l’un et l’autre, il y a un monde. Qu’on ne nous dise pas que « 0 commission » est une innovation, par pitié…non !
La culture du service se perd, le contact humain se raréfie, laissant souvent place aux mauvaises surprises, conséquence d’un travail approximatif, incomplet et de compétences parfois dépassées.
Qu’est-ce qu’un courtier ?
Un courtier est un professionnel de l’immobilier qui est en mesure d’accompagner, conseiller, négocier et finaliser une vente. (aspects juridique, technique et économique maîtrisés).
Faire appel à un courtier a effectivement un coût. Cette prestation comprend un service sur-mesure dédié à un bien immobilier (compréhension des enjeux économiques et juridiques). Outre le gain d’argent, de temps, et des conseils avisés, ce service se concentre sur l’humain. Alors ce coût est-il réellement surestimé ? Et pour qui ?
Les statistiques le démontrent, les transactions réalisées par un courtier sont supérieures (en termes de prix) à celles intervenues sans l’intermédiaire d’un courtier (OCSTAT).
« 40% des transactions en 2016 n’ont pas eu recours à un courtier ».
Quant aux cinq dernières années, le prix des transactions réalisées par l’intermédiaire d’un courtier ont été supérieur de 5% à 24% (appartement) – 7% à 20% (maison) à celles réalisées sans l’intermédiaire d’un courtier (OCSTAT). Alors est-ce vraiment cher payé pour avoir recours à un courtier ? A méditer.
Au-delà d’une concurrence relative aux honoraires pratiqués, notre défense s’axe sur une qualification professionnelle car l’immobilier est un domaine vaste, dans lequel il y a de la place pour tout le monde (ou pas) ; mais pas pour n’importe qui et surtout pas n’importe comment.